En binôme avec Julien Tonicello
Nous avons choisi le site de de l’île du ramier car nous avons été marqué par les ruines de l'ancienne poudrerie, le long de canaux. Trois murs de briques, épais, marqués par l’histoire, la topologie de l’île et des canaux, les vallons protecteurs, tout ici est à la fois chargé d’histoire et en même temps, un lieu définitivement approprié par les Toulousains qui aiment s’y promener.
Entouré par ces trois murs massif, nous sentons d’ores et déjà l’habitabilité du lieu. Un toit, une vitre, nous avons une maison.
La volonté architecturale était de ne toucher a rien, ne pas couper d’arbre, creuser, casser...
Nous avons choisi de refermer l'espace grâce à une des parois de verres, frollant la brique, s’appuyant légèrement, sans l’abimer. Un vitrage courbe s'élève depuis la bordure du cheminement, s'écarte légèrement de la paroi de brique pour découvrir l'entrée, puis la courbe s'enroule autour de l'arbre présent dans la ruine afin de le préserver et de la mettre en valeur. La toiture en verre est traitée comme dans une serre, afin de réguler la température intérieure. L'habitation totalement vitrée permet de conserver les vues sur l'environnement. Le second niveau offre un point de vue nouveau, plongeant vers les canaux et la canopée.
Nous avons choisi de refermer l'espace grâce à une des parois de verres, frollant la brique, s’appuyant légèrement, sans l’abimer. Un vitrage courbe s'élève depuis la bordure du cheminement, s'écarte légèrement de la paroi de brique pour découvrir l'entrée, puis la courbe s'enroule autour de l'arbre présent dans la ruine afin de le préserver et de la mettre en valeur. La toiture en verre est traitée comme dans une serre, afin de réguler la température intérieure. L'habitation totalement vitrée permet de conserver les vues sur l'environnement. Le second niveau offre un point de vue nouveau, plongeant vers les canaux et la canopée.